Nos bureaux sont exceptionnellement fermés le vendredi 16 aout 2024.
Merci de votre compréhension.
Sur la photo de gauche à droite : Monsieur le DPO de l’ATM David Lela Luzolo, Madame La Présidente de l’ATM le Docteur Monique Brulliard et Madame la Directrice des Archives départementales de la Meuse Alix Charpentier.
Après l’approbation de sa politique de sécurité par la Commission informatique et libertés (CNIL) en avril 2021, la validation de son organisation des ressources humaines sur la protection des données de ses salariés en mai 2021, c’est les Archives départementales de la Meuse qui confirment la politique d’archives menée par l’association tutélaire de la Meuse par la signature de la charte archivage.
Cette charte est le résultat d’une collaboration, mise en musique par le délégué à la protection des données (DPO) de l’ATM, entre les services de l’ATM et les Archives départementales. Elle contribue à la qualité de l’accompagnement des usagers de l’ATM aussi bien pour son service Mandataire Judiciaire à la Protection des Majeurs (Mjpm) que Service d'Accompagnement à la Vie Sociale (SAVS).
Les signataires s’engagent ainsi à concilier le droit à l’oubli prévu par le Règlement général pour la protection des données (dit RGPD) face au devoir de mémoire prévu par le Code du patrimoine.
L’ATM est mobilisé pour gérer, verser et éliminer les archives en conformité avec la règlementation nationale et européenne.
Les Archives départementales de la Meuse, quant à eux, renouvellent par cette signature leur reconnaissance de la dynamique lancée en janvier 2019, comme première charte d’archivage de France conforme au RGPD.
Interm’Aides55 (plateforme d’accompagnement et de répit pour les aidants de personnes âgées en perte d’autonomie), le département de la Meuse, l’ADAPEI de la Meuse, Handi’coeur, le SEISAAM, l’AGIRC ARRCO, la Caisse d’Assurance Maladie, la Mutualité Sociale Agricole et l’ensemble des partenaires
Le 22 juin 2022
La France compte près de 11 millions d’aidants et 69 % d’entre eux ne savent pas qu’ils sont aidants. Ils interviennent quotidiennement auprès d’un proche malade, dépendant ou en situation de handicap.
Le recours à l’aide augmente progressivement avec l’âge et 50 % des aides dispensées à domicile le sont exclusivement par les aidants non professionnels, soit environ 6.5 h/jour en moyenne de temps consacré par l’aidant.
Interm’Aides55, le département de la Meuse, l’ADAPEI de la Meuse, Handi’coeur, le SEISAAM, l’AGIRC ARRCO, la Caisse d’Assurance Maladie, la Mutualité Sociale Agricole et de nombreux partenaires organisent un forum intitulé : « Vous aidez un proche et vous, qui vous aide ? » dont l’objectif est de vous informer sur les services de proximité existants, de vous faire découvrir des dispositifs de soutien et de répit ainsi que des possibilités d’aides humaines et techniques.
Samedi 03 septembre 2022
Salle La Barroise - 85 rue Ernest Bradfer - Bar-le-Duc
A partir de 13h30
Entrée libre et gratuite – Parking – Salle accessible
Au programme :
ouverture du forum par Mme Véronique PHILIPPE (Vice-Présidente du Département de la Meuse) et Mme Céline PRINS (Déléguée DTARS 55)
Ouverture des 50 stands d’informations
Ateliers détente par une psycho-socio-esthéticienne ou gérontopraticienne de 14 h à 18 h
Ateliers sport adapté : 3 séances au cours de l’après-midi
Déambulation marionnettique
Animation tout au long de l’après-midi par la troupe d’improvisation du Mitch
Espace librairie
Des mini-conférences :
Afin de permettre aux aidants de participer à cette journée, un accueil de 13h15 à 19h00 par des professionnels de santé, est organisé sur place pour accompagner votre proche aidé. L’accueil est gratuit avec possibilité d’inscription au 03.29.75.49.91.
Nous vous remercions de communiquer avant l’évènement et de bien vouloir couvrir cet évènement.
Contacts : Corinne PILLARD 07.86.06.62.92 et Céline COLLIGNON 06.24.88.60.99
« la DGCS travaille depuis 2019 sur un certain nombre de supports avec la volonté d’harmoniser les pratiques en matière d’ISTF.
Pour ce faire, elle propose désormais une « mallette »composée de fiches pratiques pour les personnes chargées de la mesure de protection.
Cette mallette a été coconstruite avec l’appui technique de l’ANJI ( Association Nationale des Juges d’Instance) et les fédérations du secteur parmi lesquelles la FNAT qui a réuni un échantillon de services MJPM adhérents pratiquant l’ISTF).
Cette mallette se compose de 16 fiches pratiques à jour au 1/01/2021 et incluant donc la réforme du 23 mars 2019.
En savoir plus.Début Juin 2021, l'ATM (adhérent FNAT etl'UDAF de la Meuse unissent leur force et se mobilisent pour alerter les sénateurs et députés du département de la Meuse sur l'état actuel des services MJPM : complexité et étendue des responsabilités des MJPM face au manque d'attrait financier et d'effectif... les difficultés sont nombreuses et le métier au service des plus vulnérables, pas suffisamment connu et reconnu.
L'occasion pour l'ATM et l'UDAF de la Meuse de présenter l'étude nationale sur les gains socio économiques de la PJM lancée par I'IF-PJM (FNAT, UNAF, UNAPEI) qui estime que 130 millions d'euros sont nécessaires pour accompagner dignement les personnes protégées dont le nombre est amené à doubler d'ici 2040.
En savoir plus.En septembre 2020, l’Interfédération Protection Juridique des Majeurs qui réunit l’UNAF, la FNAT, l’UNAPEI et représente 90% des mesures gérées par les services mandataires, a publié une étude réalisée par un cabinet indépendant, Citizing, évaluant à un milliard d’euros les gains socio-économiques de la protection juridique des majeurs exercée par les associations tutélaires.
En effet, la présente étude fait état d’un retour sur investissement en démontrant que les impacts positifs permettent de compenser les coûts. Pour chaque euro public investi dans la protection juridique des majeurs, les impacts positifs s’élèvent au moins à 1.5 euro. L’objectif de la FNAT, de l’UNAF et de l’UNAPEI est de mobiliser les pouvoirs publics sur l’urgence de mieux protéger les majeurs les plus vulnérables en accordant davantage de reconnaissance et de moyens à celles et ceux qui assument leur accompagnement et leur soutien. Sans les professionnels de nos services, il est démontré que nous aurions 20 000 personnes sans abri de plus chaque année, 70 000 personnes de plus sous le seuil de pauvreté ….
Ainsi, conjointement avec l’UDAF de la Meuse, nous avons relayé la campagne nationale de sensibilisation auprès des quatre parlementaires meusiens. La somme de 130 millions d’euros serait nécessaire au recrutement de 2000 professionnels supplémentaires dans les associations, au rattrapage de salaire d’un montant de 300 euros bruts par mois. Cette somme apparait dérisoire au regard des économies réalisées.»
La carte mobilité inclusion(CMI) remplace la carte d’invalidité, la carte de priorité et la carte de stationnement depuis le 1er janvier 2017. Elle permet aux personnes en situation de handicap de bénéficier de droits pour favoriser leur autonomie.
Art. R.241-12 du Code de l’Action Sociale et des Familles : “ La demande de carte d’invalidité […] ou de la carte portant la mention “Priorité pour personne handicapée” […] est adressée à la maison départementale des personnes handicapées.”
La carte mobilité inclusion est délivrée gratuitement.
La carte mobilité inclusion est délivrée gratuitement.
Elle est plastifiée et se présente sous la forme d’une carte bancaire.
N’hésitez pas à nous contacter pour toutes vos questions et interrogations.
La mesure de protection prend fin automatiquement par le non-renouvellement de la mesure ou le décès de la personne. Elle peut également prendre fin par la mainlevée (jugement par lequel le Juge des Contentieux de la Protection y met un terme) ou son transfert.
Art. 443 du Code Civil- “La mesure prend fin, en l’absence de renouvellement, à l’expiration du délai fixé, en cas de jugement de mainlevée passé en force de chose jugée ou en cas de décès de l’intéressé. […] “
En cas de mainlevée ou de non renouvellement de la mesure de protection, la
personne retrouve sa pleine capacité juridique.
La mesure de protection peut prendre également fin lorsque la personne
protégée déménage à l’étranger. L’éloignement géographique peut empêcher
le suivi et le contrôle de la mesure.
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La loi prévoit l’obligation de conserver aussi longtemps que possible le logement de la personne protégée avec l’ensemble des meubles dont il est garni. Ainsi, le Juge des Contentieux de la Protection doit être sollicité pour tous les actes relatifs à ce sujet.
L’inventaire des biens meubles corporels (sauf exception) est demandé par le
Juge dans les trois mois suivant le prononcé de la mesure de protection (article
503 du Cod Civil, cf. lettre d’information n°3).
Si la composition du mobilier est modifiée de façon importante, il est
nécessaire d’adresser un inventaire actualisé au tribunal. Ainsi il conviendra
de réaliser un nouvel inventaire des meubles et objets personnels conservés
par la personne protégée si celle-ci entre en établissement (EHPAD, foyer…).
N’hésitez pas à nous contacter pour toutes vos questions et interrogations.
Pour exercer un mandat de protection juridique, il convient toujours d’identifier préalablement la nature de l’acte à réaliser. Cela permet de savoir si la personne protégée peut le réaliser seule ou non, si l’autoristaion du juge est nécessaire ou non.
Dans tous les cas, les actes passés par le tuteur, le curateur ou le mandataire
spécial (dans le cadre d’une sauvegarde de justice) doivent faire l’objet
d’informations et d’’explications adaptées à la compréhension du majeur
protégé.
Les actes passés par la personne protégée avant sa mise sous protection restent
valables. Cependant, ceux passés moins de deux ans avant la mesure peuvent
être annulés ou ré-appréciés si ces actes lui ont porté préjudice. La contestation
doit être faite dans un délai maximum de cinq ans après le début de la mesure.
Enfin, si les actes qui ont été passés souffrent d’irrégularités, il est prévu des
dispositions pour les régulariser ou pour les annuler.
N’hésitez pas à nous contacter pour toutes vos questions et interrogations.
Nos bureaux sont de nouveaux ouvert au public uniquement sur rendez-vous.
Notre standard téléphonique est ouvert.
Nous vous remercions de votre compréhension.
Toute personne majeure (le mandant) peut établir un mandat de protection future qui permet de désigner à l’avance la (ou les) personne(s) (le ou les mandatires) qui sera (seront) chargé(es) de la représenter pour le cas où elle ne serait plus en mesure de le faire elle-même en raison de son état de santé physique ou mental.
Il est possible d’établir un mandat de protection future pour autrui. Cette
procédure est ouverte aux parents qui souhaitent organiser la défense des
intérêts de leur enfant, majeur ou mineur, dès lors que ce dernier souffre
d’une maladie ou d’un handicap identifié.
Ce mandat de protection future pour autrui est obligatoirement un acte
notarié et ne s’applique qu’à la majorité de l’enfant.
N’hésitez pas à nous contacter pour toutes vos questions et interrogations.
Toute personne majeure peut, si elle le souhaite, faire une déclaration écrite appelée « directives anticipées » pour officialiser ses souhaits si elle se trouve dans une situation de « fin de vie ». Ce document aidera les médecins, le moment venu, à prendre leurs décisions sur les soins à donner, si la personne concernée ne plus exprimer ses volontés.
La loi française n’autorise pas l’assistance au suicide, ni l’euthanasie. Les
directives anticipées ne peuvent donc pas comporter de demande en ce sens.
La rédaction des directives anticipées n’est pas obligatoire. Chaque personne
peut confier ses volontés à un membre de sa famille, un proche ou une
personne de confiance. La personne porteuse des volontés pourra en
témoigner le cas échéant.
Les directives anticipées n’ont aucune autre vocation que les souhaits de la
personne sur sa fin de vie (une personne est considérée en fin de vie lorsqu’elle
est atteinte d’une affection grave et incurable en phase avancée ou terminale).
N’hésitez pas à nous contacter pour toutes vos questions et interrogations.
La désignation d’une personne de confiance permet à une personne majeure d’être accompagnée sur le plan médical.Pour un résident en établissement social ou médico-social comme par exemple un EHPAD ou une MAS, la personne de confiance peut avoir un rôle dans les démarches et la connaissance de ses droits notamment ceux au sein de la structure d’accueil.
La personne de confiance n’a pas accès au dossier médical sauf si une
autorisation lui a été accordée par la personne qui l’a nommée.
Rien n’interdit à ce que la personne en charge de la mesure de protection puisse
être désignée comme personne de confiance.
Il n’est pas possible de nommer plusieurs personnes de confiance.
N’hésitez pas à nous contacter pour toutes vos questions et interrogations.
En raison des mesures prises au niveau national pour limiter les risques de propagation du coronavirus, nous vous informons que les permanences du service ISTF sont actuellement suspendues à partir de ce jour, le 13 mars 2020, jusqu’à nouvel ordre.
Notre standard téléphonique reste ouvert.
Nous vous remercions de votre compréhension.
Une des missions du tuteur ou du curateur est de percevoir les ressources de la personne protégée sur un compte ouvert à son nom et de régler ses dépenses. Il est donc indispensable d’établir un budget prévisionnel.
Le budget prévisionnel doit être équilibré. S’il est déficitaire, il faut réaliser des
réajustements en fonction de la situation de la personne protégée en
l’associant, si possible, aux décisions à prendre.
En curatelle renforcée, le curateur donne directement l’excédent (ce qui reste
après avoir réglé les charges et intégrer les provisions pour des projets
éventuels) à la personne protégée ou le verse sur un compte laissé à sa
disposition. Elle est alors libre de l’utiliser comme elle le souhaite.
N’hésitez pas à nous contacter pour toutes vos questions et interrogations.
Le tuteur ou le curateur doit établir un inventaire complet des biens de la personne protégée à transmettre au Juge des Tutelles dans les trois mois de l’ouverture de la mesure pour les biens meubles corporels ( meubles meublants, véhicule, bijoux…) et dans les six mois pour tous les autres biens (immeuble …).
En cas de retard dans la transmission de l’inventaire, le juge peut désigner un
professionnel qualifié pour y procéder, aux frais de la personne en charge de la
mesure de protection.
Aucun secret professionnel ou bancaire ne peut être opposé. En cas de
difficultés pour lister l’ensemble des comptes bancaires de la personne
protégée, il est possible de solliciter FICOBA (FIchier des COmptes BAncaires).
N’hésitez pas à nous contacter pour toutes vos questions et interrogations.
La fin d’année arrive et avec elle, l’obligation de transmettre au Juge des Tutelles les Comptes Rendus de Gestion.
Pour vous aider dans cette tâche, nous vous proposons une réunion d’information dans nos locaux le 20 décembre.
Un compte rendu de gestion (CRG) doit être établi annuellement afin de rendre compte de l’exercice d’une mesure de protection. Ce document obligatoire doit être rédigé sans attendre la sollicitation du Juge des Tutelles.
Il permet de vérifier que le représentant légal s’acquitte avec diligence de ses obligations et que les intérêts de la personne protégée sont correctement administrés et défendus.
Si le patrimoine et les revenus de la personne protégée sont faibles, le Juge des Tutelles peut autoriser le curateur ou le tuteur à ne pas établir ce document.
Le compte rendu de gestion ne doit pas être communiqué à d’autres personnes sans autorisation préalable du Juge des Tutelles en raison d’une obligation de confidentialité.
Suite au retour positif des carrefours, l’ATM et l’UDAF ont souhaité pouvoir organiser un carrefour des tuteurs familiaux sur les secteurs de Stenay et de St Mihiel mais dans une formule allégée. Ainsi une table ronde a réuni 4 à 5 professionnels qui sont intervenus sur les mêmes thèmes développés lors des précédents carrefours.
La loi de programmation 2018-2022 et de réforme pour la justice vient simplifier la protection des personnes vulnérables.
Cette réforme naît de la volonté du législateur à favoriser des mécanismes plus souples que la tutelle et la curatelle, à alléger le contrôle du juge lorsqu’il n’est pas nécessaire et à renforcer la protection et l’autonomie des personnes vulnérables.
L'autorisation du Juge est toujours nécessaire lorsqu'il s'agite de:
L’ATM et l’UDAF ont organisé un deuxième carrefour des tuteurs familiaux sur le modèle du précédent. Cette journée a réuni de nombreux partenaires du secteur dont Mme le Juge des Tutelles autour de stands et des interventions ont été faires sur les mêmes thèmes que ceux qbordés au carrefour de Bar Le Duc.
107 personnes se sont déplacées et ont apprécié la présence des professionnels présents.
Afin d’apporter un soutien aux tuteurs familiaux, aux futurs familiaux et aux professionnels, l’ATM et l’UDAF ont organisé un point de rencontre entre les différents partenaires du secteur social et médico-social et le public. Des ateliers animés par des professionnels présents et notamment par Mme le Juge des Tutelles ont rythmé la journée autour de 4 thèmes :